Le frère Léon de Paris exerce, en 1632, les fonctions de gardien des capucins du couvent Saint-Honré, à Paris. Au mois d’avril de la même année, il cosigne, au titre de ses responsabilités ecclésiastiques, avec le père Archange du Fossé (Archange de Paris), gardien des capucins du couvent de Saint-Jacques, à Paris, avec Regnault de Vaulx, prieur du grand couvent des carmes de Paris, le père Matthieu Dolé (ou Doles), premier lecteur au couvent des cordeliers de Paris, Claude Le Petit, gardien des cordeliers de Paris, Nicolas Ridolfi, Eustache Asseline de Saint-Paul, Augustin Carcat, Bonaventure de la Mère de Dieu, prieur des carmes déchaussés de Paris, Michel Fouet, supérieur du couvent des augustins du faubourg Saint-Germain à Paris, ou les jésuites Louis de La Salle et Étienne Binet, un courrier que les représentants du clergé régulier adressent à Richelieu, en réponse aux débats suscités par Jean-Pierre Camus, évêque de Belley¹.

Texte 641,

Marie-Catherine Vignal Souleyreau

Docteur en Histoire, ingénieur d'études à Sorbonne Université, Faculté des Lettres, Institut de Recherche sur les Civilisations de l'Occident Moderne (IRCOM - Centre Roland Mousnier)

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1. La translation de cette lettre est publiée en ligne, texte 641. [↩]