Texte 264, année 1637, 17 février, Richelieu au duc de Saxe-Weimar

Richelieu à Bernard de Saxe-Weimar, Étréchy, 17 février 1637.

Bibliothèque Interuniversitaire de la Sorbonne, coll. Richelieu, vol. 17, f° 37. Original de la main de Denis Charpentier.

Monsieur,

J’ai reçu la lettre qu’il vous a plu m’écrire par Monsieur Ponica, sur laquelle je n’ai rien à vous dire sinon que je ne doute point que vous ne preniez part à tous les heureux succès qu’il plaît à Dieu donner au Roi. Aussi pouvez-vous vous assurer qu’il n’y a personne que Sa Majesté estime plus que vous et qu’en mon particulier vous honorant comme je fais, je n’aurai jamais de plus grand contentement que de vous faire voir en vous servant que je suis autant qu’on le peut être, Monsieur, votre très humble et très affectionné serviteur,

Le cardinal de Richelieu.

D’Étréchy, ce 17e février 1637.

Marie-Catherine Vignal Souleyreau

Docteur en Histoire, ingénieur d'études à Sorbonne Université, Faculté des Lettres, Institut de Recherche sur les Civilisations de l'Occident Moderne (IRCOM - Centre Roland Mousnier)

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Marie-Catherine Vignal Souleyreau (31 mai 2022). Texte 264, année 1637, 17 février, Richelieu au duc de Saxe-Weimar. Correspondance et papiers d'État du cardinal de Richelieu. Consulté le 16 septembre 2024 à l’adresse https://doi.org/10.58079/tpww


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